Description du projet

 

Huile sur toile

Dimensions : 66 cm x 54 cm

Signée en bas à droite : E.Salanson

Bouquet de fleurs sur entablement

SALANSON Eugénie-Marie

(Albert (Somme) 15/12/1836- Saint Pair sur Mer (Manche) 23/07/1912)

Active en France et en Angleterre au XIXème siècle.

Saint Omer

Eugénie Salanson commence sa formation à Saint-Omer avec son premier professeur M. Crocher, de Calais.

Paris

Elle s’installe ensuite à Paris. Elle ne peut accéder à l’École des beaux-arts réservée aux hommes et suit l’enseignement de Léon Cogniet, puis de William Bouguereau à l’Académie Julian4. Son maître Léon Cogniet, dont elle présente un portrait au Salon de 1877 à Paris, exerce une influence visible sur les nombreuses commandes exécutées pour la bourgeoisie et la haute société. L’empreinte de son autre illustre maître William Bouguereau est perceptible sur les peintures de paysannes italiennes, les pêcheuses de Saint-Pair-sur-Mer et de Granville.

Eugénie Marie Salanson débuta au Salon de 1864.

Médaille d’or aux salons Montpellier et Rouen (1874), Laval (1875), Amiens et Châteauroux (1882), Dijon (1885), Alençon (1898).

Médaille d’argent à Laval (1874).

L’angleterre

Médaille de bronze à l’Exposition internationale du Crystal Palace à Londres (1884).

Une vie bourgeoise à Paris

Eugénie Salanson multiplie les expositions, salons importants à travers le pays et à l’étranger, elle expose très régulièrement à Paris et forte de sa réussite y mène un train de vie bourgeois.

La Maison Braun et Co reproduit ses tableaux, et son succès traverse les frontières. Comme pour son maître William Bouguereau, ses œuvres sont recherchées en Angleterre et outre-Atlantique.

Dans les années 1880, Eugénie Salanson acquiert la villa Saint-Joseph dans la naissante cité balnéaire de Saint-Pair à proximité de Granville. C’est cette région qui lui inspire de nombreux tableaux avec pour thèmes récurrents de jeunes pêcheuses du pays. Sa peinture À marée basse (1890), est éditée dans le livre Women Painters of the World (1905).

Au milieu des années 1880, Eugénie Salanson s’installe dans son dernier domicile parisien du 117, rue Notre-Dame-des-Champs. Cette rue abrite de nombreux ateliers d’artistes, William Bouguereau y possède un hôtel particulier, à cette adresse elle côtoie Camille Claudel qui y loue un atelier, dès 1882, avec d’autres femmes sculpteurs.

Elle exposa aussi à la Royal Academy en 1892.

Elle meurt le dans sa villa de Saint-Pair-sur-Mer.

Sources : Benezit et wipikedia

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